Plusieurs formes de rampe ont aussi été étudiées pour permettre aux cyclistes et aux piétons d'arriver en douceur sur l'île, à environ 6m sous le niveau de la passerelle. Elle prend finalement la forme "simple et pure" d'un cercle, qui permet une "lecture continue entre le lieu où la passerelle se connecte à la digue et celui où il vient se poser, de manière légère, sur l'île", selon Alice Barrois. Débouchant sous le tablier, pour revenir dans l'axe que l'ouvrage dessine et prolonge avec le cheminement du parc, la rampe offre ainsi une vision à 360° sur l'île et marque cette idée de "porte d'entrée".
La passerelle Robert-Poujade, défi d'ingénierie qui redessine la silhouette de Toulouse
Jessica Ibelaïdene, le 19/08/2025 à 10:17