Une attention particulière a été portée à certains détails. Les garde-corps, les finitions, la main-courante, l'éclairage… "tous ces éléments qui sont à proximité de chacun" ont été soignés pour contribuer à faire de l'infrastructure une passerelle "la plus légère possible. La proportion du garde-corps par rapport à la longueur de l'ouvrage lui donne une allure très élancée", poursuit Alice Barrois. Les hauteurs des poutres structurelles sont masquées par les garde-corps, en partie pleins donc. "De près comme de loin, nous avons un élément assez simple et fin qui se confond avec le tablier du pont suivant et s'inscrit dans les horizontalités de la ville de Toulouse."
La passerelle Robert-Poujade, défi d'ingénierie qui redessine la silhouette de Toulouse
Jessica Ibelaïdene, le 19/08/2025 à 10:17