EN IMAGES. En charge de deux lots, Vinci Construction compte faire de ce grand projet hospitalier une vitrine de son savoir-faire et de sa capacité à massifier l'usage de bétons moins carbonés.

C'est l'un des plus grands - si ce n'est le plus grand - chantier hospitalier neuf actuellement en cours en Europe : le futur centre hospitalier universitaire (CHU) de la métropole nantaise, avec ses 15 bâtiments en 4 blocs, représentant 300.000m2 de surface de plancher, sur un terrain de 11ha se dresse peu à peu sur l'Ile de Nantes au milieu d'un ballet de grues. Un grand projet pour la métropole nantaise, à plus d'1,2 milliard d'euros.

 

Vinci Construction fait partie des entreprises à pied d'œuvre. Sa filiale Sogea Atlantique BTP pilote 2 des 4 lots, pour réaliser en groupement 9 des 15 bâtiments (imagerie, blocs opératoires, urgences, soins critiques, bâtiment mère-enfants-adolescents…), soit 180.000 m2 à bâtir. Plus de 300.000 euros de contrat, à livrer d'ici à la fin de l'année 2026.

 

 

Un marché important donc, dont Vinci Construction veut aussi faire une vitrine. Car trois ans après le lancement de sa démarche Exegy et sa gamme de béton bas carbone, le groupe compte montrer qu'il est possible de massifier ces solutions à grande échelle, tout en confirmant leur pertinence sur tout type d'infrastructure, y compris les plus sensibles. Avec un objectif : utiliser 100% de béton bas carbone sur le futur CHU de Nantes, ou en tout cas s'en approcher au plus près. Une "des plus grandes opérations" sur lesquelles Vinci Construction en met en œuvre, selon Rémi Lefeuvre, , directeur des ressources techniques et opérationnelles chez Vinci Construction.

 

Découvrez le projet et les détails pour parvenir à cet objectif dans la suite de l'article.

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