Là où se trouveraient les bâtiments historiques, des jardins pédagogiques de la même surface que les constructions ont été plantés. Les jardins éphémères ont été pérennisés mais retravaillés par des jeunes paysagistes, encore étudiants ou diplômés. "Dans le demi-cercle initial, les jardins éphémères existaient déjà, mais six mois dans l'année ils étaient en travaux. L'idée aujourd'hui est de proposer des conceptions paysagères toute l'année", relate Vincent Mayot. "Les jeunes paysagistes doivent suivre un thème. C'est une occasion pour eux de faire des essais. Nous les imaginons comme des jardins évolutifs." C'est bien l'ADN de la Saline Royale : être un laboratoire végétal alliant expérimentation, économie circulaire, pédagogie et haute qualité environnementale.

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