"La priorité dans ce chantier était de limiter au maximum l'imperméabilisation des sols, utiliser du paillage pour limiter l'assèchement du sol, développer le compostage, privilégier les matériaux locaux et planter des espèces qui ne nécessitent pas d'arrosage." Environ 400 élèves en paysagisme ont participé aux travaux. "Gilles Clément avait proposé d'en faire une école de jardin planétaire, où l'on peut observer et apprendre. C'est la théorie de jardins en mouvement, déjà appliquée à La Réunion et à Angers", raconte le paysagiste.

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