La certification suisse Site 2.000 watts, remplacée depuis par deux autres labels, avait pour objectif de promouvoir des quartiers, plutôt que des bâtiments individuellement, qui combinaient efficacité énergétique, respect de l'environnement, énergies renouvelables, mobilité durable, utilisation raisonnée des ressources, qualité du bâti et des espaces extérieurs et cadre de vie agréable. "Le label a été un élément important sur la voie menant à la société à 2.000 watts et pour atteindre l'objectif zéro net", peut-on lire sur le site de SuisseÉnergie, le programme du Conseil fédéral pour la promotion de l'efficacité énergétique et des énergies renouvelables.
Cette "société à 2.000 watts", c'est un objectif visé par la Suisse, pour atteindre la neutralité climatique d'ici à 2050. Elle s'appuie sur trois piliers : une consommation d'énergie primaire limitée à 2.000 watts par habitant par an (ce qui permettrait de préserver les ressources annuelles de la planète, alors que nous sommes, en moyenne, plutôt à 6.000 watts) ; l'objectif zéro émission liée à la production d'énergie ; un approvisionnement en énergie 100% renouvelable.
Une logique dans laquelle s'inscrit Greencity.