Le "patio" n'était, à l'origine, qu'une cours de service, sombre et recouverte d'une "verrière" en polycarbonate translucide. L'architecte a choisi d'en faire un véritable puits de lumière pour tous les niveaux, accueillant également des ascenseurs panoramiques vitrés. "L'endroit a été creusé jusqu'au premier sous-sol, pour y amener la clarté dans les salles de réunion", fait valoir Jean Arzano. L'architecte souligne, de son côté, les surprises faites sur site : "Le bâtiment est en ossature béton y compris la couverture, ce qui était avant-gardiste à l'époque. Nous avons fait de nombreuses découvertes pendant le chantier, qui ont modifié le projet". Ainsi, plusieurs éléments historiques de l'intérieur ont été conservés, comme une rotonde d'angle redécouverte au R+1 ou des encadrements particulièrement travaillés. Les reprises en sous-œuvre ont représenté les principales difficultés selon lui.

 

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