LE REGARD DE PHILIPPE PELLETIER. Alors que des milliers de personnes peinent à se loger dans les zones tendues, l'existence de logements vacants mobilisables reste une aberration. Philippe Pelletier propose une stratégie basée sur trois principes : décider, rénover, garantir.


Je ne m'y résoudrai jamais : l'existence de logements vacants mobilisables, si peu nombreux soient-ils, constitue depuis trop longtemps une faille dans nos politiques du logement.

 

Une expérience de trente ans, pour commencer : je préside alors l'Union des propriétaires immobiliers, près de 200.000 adhérents, et Charles Pasqua, le ministre de l'Intérieur, cherche à grand-peine à loger dans Paris les personnels de police qui, faute de ressources, vivent en deuxième couronne de la capitale.
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