Ce stabilisé a l'avantage de présenter un bilan carbone réduit par rapport à une solution classique. Notamment car le liant utilisé est beaucoup moins chauffé : 600 à 800°C contre 1.100°C pour un ciment. Une solution bas carbone, qui s'inscrit ainsi pleinement dans les ambitions du groupe dont le but est de réduire de 30% ses émissions de CO2 à l'horizon 2030.
Elle a d'autres atouts à faire valoir par ailleurs. En effet, s'il libèrera au moment de sa mise en circulation une couche superficielle de graves, ce qui participera à son harmonisation avec les sols du reste du jardin, ce revêtement ne génère pas pour autant de poussière. Et il ne nécessite pas non plus d'entretien particulier.












Un nouveau membre représentant le bâtiment rejoint le bureau de Coénove