Les travaux portent principalement sur la partie inférieure de la digue, afin d'en reconstituer les enrochements. "La partie supérieure est en bon état, si bien que nous n'avons pas besoin de reprendre la protection dans son intégralité, constate Renaud Kubacsi. Toujours fonctionnelle, la partie haute reste. Nous sommes donc davantage sur de la réparation plutôt que du confortement." Ce qui permet aussi de diminuer le coût par rapport à une reprise totale.
En Savoie, un chantier hivernal pour conforter les digues presque bicentenaires de l'Isère
Jessica Ibelaïdene, le 20/05/2025 à 15:44