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Une fois le basculement effectué, des pistes d'accès ont été réalisées sur 1 km, pour que les semi-remorques puissent acheminer les blocs d'enrochement. Les premiers enrochements ont pu être posés au début du mois de décembre 2024. L'opération s'est poursuivie jusqu'à fin mars, interrompue seulement par la pause des confiseurs sur trois semaines.
Au total, ce sont 25.000 m³ d'enrochements qui ont été déposés. Les blocs, allant de 500 kg à 3 t, avec une blocométrie moyenne de 1,5 t, sont issus de 5 carrières. "Nous ne sommes pas sur un territoire très riche en carrière. Les deux tiers des blocs viennent ainsi du plateau d'Hauteville [à l'extrémité sud du massif du Jura, dans l'Ain, NDLR], le reste étant des matériaux plus locaux", indique Renaud Kubacsi.
Lors de cette phase, en moyenne 5 machines étaient en action : 3 ou 4 pelles de 30 t, 1 à 2 tombereaux de 30 t de charge utile et un bulldozer, là encore tous équipés de GPS. "Cela nous permet de contrôler en continu l'avancement des travaux que nous effectuons et de savoir où mettre les enrochements."
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