"Nous avons essayé de réfléchir sur la partie Rivoli en continuité de ce projet en tentant de retrouver une architecture très légère", poursuit l'architecte nippon. Et d'ajouter : "L'autre grand défi, par exemple, est surtout structurel et aussi réglementaire en raison des contraintes incendie qui sont très particulières dans un bâtiment commercial. Dans le Hall Jourdain, sous la verrière, nous avons essayé de conserver le plancher. Les fresques vont être remises aussi en état et nous retrouverons toutes les colorimétries d'origines."
La Samaritaine : la remise en état de ce "bijou" durera 36 mois
Sébastien Chabas, le 25/11/2015 à 18:35