Ce procédé doit permettre de réduire de près de 6.000 tonnes les émissions de gaz à effet de serre lors de la phase construction du tronçon commun des lignes 16 et 17. Soit un investissement supplémentaire de 580.000 euros pour la Société du Grand Paris.

 

 

Le maître d'ouvrage cherche par ailleurs à étendre le dispositif sur d'autres sections. Sur la ligne 15 sud, par exemple, la pose des rails a certes commencé, mais des discussions avec les trois titulaires de marchés systèmes devraient permettre d'utiliser plus de 50% de rails bas carbone sur cette portion. Soit 7.000 tonnes d'équivalents CO2 évités, et un investissement de 900.000 euros via le Reverse carbone initiative. Mise en place de voussoirs bas carbone et ultra bas carbone (sur la ligne 18) est aussi concernée par cette initiative.

 

Par ailleurs, sur les deux autres lots de la ligne 16, dont les marchés ferroviaires sont séparés du génie civil, des rails bas carbone pourraient aussi être installés. D'autant que les travaux seront aussi menés par un groupement dont TSO est mandataire.

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