Pour conserver tout ce qui fait le charme de la bâtisse, Stéphanie Perris n'a pas non plus hésité à revoir ses plans. "Certains aménagements revenaient à détériorer le bâtiment" explique-t-elle. "Par exemple, au rez-de-chaussée, on trouve une succession d'arches mais il n'y a quasiment aucune porte. Réglementairement pourtant, il fallait cloisonner. Faire aménager l'ascenseur nécessitait aussi de sacrifier certains espaces" détaille-t-elle. Les chambres, comme les salons, ont donc été aménagées dans les volumes existants.

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