José Marcos, l'architecte, a dû faire face à la plus grande difficulté du chantier avant le début des travaux.
L'unique espace sur lequel il était possible de bâtir l'extension n'était pas praticable en l'état. Le terrain était argileux et donc très mouvant. Ce type de sol combiné au climat du midi est très souvent la cause de fissures dans les habitations, il aurait donc fallu enterrer les fondations à près de trois mètres dans le sol pour que la nouvelle bâtisse tienne debout.

 

Après de nombreuses analyses géologiques assez coûteuses, les experts ont choisi d'importer un sol très dur, homogène et quasiment rocheux sur lequel élever l'extension.

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