Pour Tarik Oualalou, de l'agence Kilo architecture, concepteur d'un musée protégé par l'Unesco au Maroc, le plus intéressant à l'étranger est d'être "obligé d'inventer de nouvelles stratégies, d'acclimater sa façon de travailler ; moins dans la forme que dans le rapport au projet".
De leur côté, Reda Amalou et Stephanie Ledoux (AW²), porteurs du projet au lycée français d'Amman reconnaissent que les "architectes se doivent d'insérer la culture française tout en respectant la très forte identité de la culture locale."
Et de poursuivre : "Il a aussi fallu respecter le rapport à la temporalité des différents lieux, en jouant sur les textures : pierre, bois, ciment ou verre selon les besoins."
"La part de budget manquante des concours est de l'ordre de 20%" (K Architectures)
