"La connaissance des usages propres à chaque ville ou pays est également nécessaire sans être suffisante, car il faut aussi comprendre ce qui espéré, ce qui est à venir, le changement heureux qu'on attend de chaque projet et sa contribution à l'identité contemporaine d'une ville ou d'un pays", complète l'architecte Roueïda Ayache, architecte associée d'AS.Architecture-Studio. Pour toutes ces raisons, l'architecte doit mettre en place un échange de qualité avec la maîtrise d'ouvrage au sens large (client, utilisateurs, décideurs…). D'après elle, la pratique d'une langue commune est un avantage certain, mais les mots doivent toujours s'accompagner d'une très bonne visualisation du projet à la fois conceptuelle, spatiale et morphologique, pour l'expliquer avec la plus grande sincérité.

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