Afin de disposer d'au moins 2x3 voies pour franchir l'Indre, Vinci Autoroutes s'est d'abord demandé s'il était possible d'ajouter une voie supplémentaire par sens au viaduc construit à la fin des années 70. Une hypothèse qui a été vite rejetée, car "l'ancien tablier n'est pas conçu pour des voies complémentaires, il ne supporterait pas la charge en plus", explique le chef de projet de Vinci Autoroutes. Construire un nouvel ouvrage s'est donc imposé, ce qui ne représente pas forcément un coût plus important assure-t-il, et n'a pas posé de difficultés particulières car "la vallée est large, elle n'est pas encaissée".

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