EMPLOI. A moins d'un an de la livraison des ouvrages olympiques, la Solideo en charge de cette mission se félicite d'un premier bilan social encourageant. Insertion, prise en compte des TPE/PME, lutte contre le travail illégal et contre les accidents, tout n'est pas parfait, mais des dispositifs sont en place pour faire mieux.


Fin 2023, près de 90% des ouvrages olympiques seront livrés. Pour tenir les délais, plus de 5.400 compagnons sont mobilisés en ce début d'année sur les nombreux chantiers toujours en cours, en région parisienne principalement. Sur le seul village des athlètes, à cheval sur les villes de Saint-Denis, de l'Ile-Saint-Denis et de Saint-Ouen, ils sont 3.000 à se croiser quotidiennement.

 

Un nombre d'intervenants conséquent donc, sur un périmètre tout de même relativement restreint. Et un défi du point de vue social pour la Société de livraison des ouvrages olympiques, la Solideo, qui pilote ce grand projet aux divers chantiers. D'autant que, comme le rappelle Nicolas Ferrand, directeur général exécutif de l'établissement public, lors d'une conférence de presse le 17 janvier 2023, de fortes ambitions en la matière ont été définies. Le but : faire en sorte que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 profitent au plus grand nombre, dès la construction des ouvrages. Mais aussi montrer l'exemple.
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