RENOUVELABLES. À l'initiative du ministère de la Transition écologique, un groupe de travail a planché sur une batterie de mesures visant à "identifier les freins et leviers" pour faciliter les projets d'énergies renouvelables citoyennes. Des annonces qui viennent compléter les récentes communications gouvernementales sur l'éolien, le solaire ou le fameux rapport RTE.


Voilà des annonces qui pourraient bien élargir ce marché de niche que sont les énergies renouvelables citoyennes. Ces projets à gouvernance locale permettent à la population et aux collectivités territoriales de prendre directement part à la transition énergétique en impulsant, en finançant et en gérant des sites d'aérogénérateurs ou de centrales solaires - Batiactu a d'ailleurs consacré une infographie sur le sujet. Au-delà du fait de fédérer l'opinion publique à ces enjeux, l'idée est également de générer des retombées économiques locales qui sont souvent présentées comme plus importantes que celles des projets "classiques" : dans une étude de 2019, l'Ademe (Agence de la transition écologique) montrait que pour 1 euro investi dans un projet d'énergie renouvelable citoyenne, 2,5 euros profitaient ensuite à l'économie locale, et pas nécessairement que dans des territoires ruraux.

 

 

Désireux d'encourager l'essor des projets de renouvelables citoyennes, le ministère de la Transition écologique a mis en place un groupe de travail réunissant "une cinquantaine d'acteurs". Celui-ci s'est réuni "à sept reprises entre février et septembre" 2021 afin d'"identifier les freins et leviers" qui faciliteraient l'expansion de ces installations.
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