MARCHÉ. Contrairement à certaines prévisions, la demande de logements anciens est restée "extrêmement vigoureuse", analysent les réseaux d'agences immobilières. L'année passée a également été marquée par de nouvelles tendances, provoquées -ou confirmées- par les confinements.


"Ceux qui affirmaient que le virus entraînerait un effondrement des prix se sont lourdement fourvoyés". Laurent Vimont, président de Century 21, groupe d'agences immobilières de Nexity, n'y va pas par quatre chemins. Il a présenté, le 4 janvier, les grandes tendances observées par son réseau en matière de transactions immobilières en 2020. Après huit semaines d'arrêt du marché lors du premier confinement, se sont rajoutées quatre semaines de ralentissement du 30 octobre au 28 novembre (date de réouverture des agences et de reprise des visites). Arithmétiquement, l'activité immobilière "aurait dû enregistrer une baisse de -25% en 2020". "Et pourtant, au terme de cette année tourmentée, le nombre de ventes au niveau national ne recule que de -12,1% dans le réseau". Comparé à d'autres secteurs économiques, le marché immobilier de l'ancien fait donc "figure de miraculé", explique-t-il.
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