Les 23 places de la résidence sont réparties en quatre logements, dont deux grandes collocations de dix chambres en duplex. Le plan de ces duplex organise "une gradation de l'intime au collectif, depuis la périphérie vers le centre", détaille l'architecte. L'amenée de lumière au cœur de l'épaisseur bâtie s'opère par le ménagement de doubles hauteurs permettant des incidences profondes tandis qu'un recul de la mezzanine répondant à la notion de jour de souffrance permet des vues et des lumières captées en limite séparative.

 

Cette "organisation centripète", en disposant les espaces communs les plus sociaux au cœur de l'édifice et les espaces individuels en périphérie, reçoit la lumière au centre grâce aux espaces double hauteur exposés au sud. L'amenée de lumière au cœur de l'épaisseur bâtie s'opère par le ménagement de doubles hauteurs permettant des incidences profondes, tandis qu'un recul de la mezzanine répondant à la notion de jour de souffrance permet des vues et des lumières captées en limite séparative, explique Vincent Saulier.

 

A ce dialogue opéré entre code civil et PLU permettant de libérer au sud le cœur des 20m d'épaisseur bâtie, répond une gestion de la thermique d'été par un bardage formant filtre ainsi que par la présence de larges jardinières intérieures "pourvoyeuses d'ombre, de fraicheur, et d'un appoint vivrier".

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