Mais, dans le même temps, les dimensions exceptionnelles du projet feraient de la Tour Mandragore un très grand puits de carbone, qui pourrait même afficher un bilan carbone positif, ce qui veut donc dire qu'il emmagasinerait plus de CO2 qu'il n'en produirait. Pour ce faire, l'immeuble de très grande hauteur pourrait compter sur l'utilisation de matériaux durables, comme le bois, et d'énergies renouvelables : la consommation énergétique de la tour serait garantie pour partie par 36 éoliennes installées sur son toit et par 27.137 m² de panneaux photovoltaïques, sans oublier de la géothermie de faible profondeur.

 

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