Dans sa structure, la rue couverte est issue d'autres bâtiments, notamment ses poteaux et poutres qui avaient auparavant une autre vie. Les architectes ont réfléchi à la capacité de réversibilité de la structure, en créant un assemblage simple. Une façon de pouvoir démonter facilement le projet, de le déplacer grâce à une grue et de ne pas générer de déchets, voire même de lui donner une autre vie. Il a notamment été conçu en trois modules de 15 mètres de long, afin qu'ils soient transportables.
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À travers ce projet, les architectes s'interrogent sur les nouveaux enjeux de la transition écologique et au futur de l'architecture. Leur but : s'approvisionner en matériaux issus du réemploi et biosourcés, tout en faisant perdurer des savoir-faire ancestraux. "L'économie du projet favorise la main d'œuvre plutôt qu'une matière industrialisée, cela nous intéresse d'un point de vue éthique."








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