Le musée, autrefois "assez sombre, habillé de moquette et parquet" a été transformé, raconte Guillaume Aubry. Il reste toutefois toujours "sombre pour des raisons de conservation". Son agence a redessiné les circulations. Au deuxième étage, elle a, par exemple, pensé un parcours en forme de boucle. Le rez-de-chaussée, lui, accueille des expositions temporaires. "L'intervention architecturale était bonne. Elle a permis de rendre accessible une salle qui ne l'était pas par le passé, ou encore de repenser des salles d'exposition [coiffées de] poteaux, qui ont été conservés tout en permettant l'accueil de collections", estime Samuel Cordier.

 

 

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