"Nous avons repris la structure sous une partie du bâtiment afin que la zone puisse supporter le poids d'un aquarium. Les planchers ont été allégés et le traitement acoustique a été refait. Les faux plafonds étaient très techniques car il fallait un bon contrôle de l'hydrométrie et installer l'éclairage. Nous avons aussi doté le musée de centrales de traitement d'air, dans les combles, pour s'assurer qu'il y ait le moins de variations possibles de température et d'humidité, ajoute l'architecte. Ce maintien homogène du climat n'impacte ainsi pas les mannequins en résine ou en bois des collections." Par ailleurs, le musée zoologique est connecté au chauffage urbain.
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