STRATÉGIE. Confrontés à un vieillissement de leur parc installé, les ascensoristes veulent attirer l'attention des pouvoirs publics sur les économies d'énergie que permettrait leur rénovation. Ils demandent aussi à ce que leur métier soit reconnu comme étant en tension.
La sobriété énergétique du secteur du bâtiment passera aussi par la rénovation des élévateurs. À l'occasion de son déjeuner annuel, la Fédération des ascenseurs a voulu attirer l'attention des pouvoirs publics sur les économies d'énergie que permettrait la modernisation du parc installé.
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Sur les 645.000 machines utilisées chaque jour par les Français, 40% ont plus de 25 ans, et 25% ont dépassé les 40 ans, particulièrement en région parisienne. En contrepartie, 10.000 à 12.000 nouveaux appareils sont installés chaque année.
"L'ascenseur a une fonction sociétale d'autant plus vitale que la population vieillit et que les villes se densifient", analyse le président de l'organisation, Olivier Rouvière. La filière, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 2,8 milliards d'euros en 2023 (en hausse de 5%), formule ainsi une dizaine de propositions regroupées au sein d'un "manifeste" et réparties en trois volets : sociétal, environnemental et formation/recrutement.
Élargir Ma prime adapt' et Ma prime rénov'
Afin de "favoriser une meilleure inclusivité dans nos quartiers", elle demande par exemple d'étendre les aides à la rénovation des ascenseurs qui sont actuellement proposées par la région Île-de-France à
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