Dans les étages, des plateaux flexibles sont baignés de lumière naturelle. "Dans l'aménagement - en fonction de l'évolution des usages - comme dans les scénarios de location - mono ou multipreneurs - cette flexibilité favorise la mutabilité dans le temps, et donc la résilience du bâtiment", souligne Philippe Chiambaretta. Le toit a, lui, été transformé en rooftop. Malgré la proximité de l'édifice avec le périphérique, les nuisances sont peu audibles depuis ce toit-terrasse de 600 m². De manière générale, les espaces végétalisés ont été favorisés dans cette opération, passant de 8% à 23% des surfaces de l'immeuble.
Au sud de Paris, des bâtiments obsolètes deviennent un ensemble de bureaux moderne
L-A F., le 27/05/2025 à 11:14