JUSTICE. Les propriétaires d'un immeuble marseillais évacué en urgence après les événements de novembre 2018, condamnés à de la prison ferme en première instance, ont été relaxés en appel. Plusieurs expertises effectuées sur le bâti se contredisent.


La cour d'appel a relaxé deux propriétaires d'un immeuble marseillais qui avait été placé en péril grave et imminent, allant à l'encontre du jugement de première instance qui les avait condamnés pour mise en danger de la vie d'autrui.

 

En novembre 2018, quelques jours après l'effondrement de deux immeubles rue d'Aubagne dans lequel ont péri huit occupants, un locataire de ce bâtiment de trois étages du centre-ville alertait sur de larges fissures sur les façades et dans les appartements trahissant une instabilité. Les occupants dont un pizzaïolo installé au rez-de-chaussée étaient aussitôt évacués.

 

Des expertises contradictoires

 

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