CHANTIER. EDF a annoncé ce 12 janvier un "ajustement" du calendrier du projet d'EPR (réacteur nucléaire à eau pressurisée) de Flamanville, dans la Manche, en raison de l'avancement des opérations et des difficultés causées par le Covid. La mise en service de la centrale est maintenant prévue au 2e trimestre 2023, quand la facture se creuse encore un peu plus.


On pourrait finir par s'y habituer, mais les conséquences peuvent être non-négligeables pour l'électricien tricolore comme pour la consommation énergétique des Français. Ce 12 janvier, EDF a annoncé par communiqué un énième retard dans la mise en service de l'EPR (réacteur nucléaire à eau pressurisée) de Flamanville, dans la Manche. Le groupe parle plus précisément d'un "ajustement" du calendrier du projet, en raison de l'avancement des opérations sur site, et notamment de la "préparation du démarrage" du réacteur, mais également du "contexte industriel tendu" causé par les difficultés du Covid. Le chargement du combustible atomique est maintenant prévu au 2e trimestre 2023 (et non plus fin 2022), quand la facture estimée se creuse encore un peu plus, passant de 12,4 à 12,7 milliards d'euros.
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