Pour l'un des architectes, Franck Vialet, le chantier de l'Institut de l'audition était davantage celui d'une "transformation" que d'une "réhabilitation". "Le bâtiment était en très mauvais état en matière d'organisation spatiale et architecturale", se souvient l'architecte. Ad initio, cette école d'avocats reposait sur trois bâtiments reliés par une petite cour centrale, et aux "circulations labyrinthiques". Un important travail de gros oeuvre, réalisé par l'entreprise Léon Grosse, a dû être effectué pour redonner une homogénéité à l'ensemble et ne créer plus qu'un bâtiment.

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