CONJONCTURE. Guetté depuis quelques mois par la Fédération nationale des travaux publics, le ralentissement de l'activité se confirme dans le secteur, dans un mouvement peu habituel par rapport au cycle électoral. Et ni l'arrivée potentielle de nouveaux exécutifs municipaux et intercommunaux en mars 2026, ni certains dispositions budgétaires qui pourraient peser sur les finances locales, n'arrangeront pas la situation pour le prochain exercice.


Début 2025, Alain Grizaud prédisait une année "qui ne devrait pas être catastrophique", craignant toutefois un "trou d'air à venir" et "un ralentissement certain" dès 2026 pour les travaux publics. Un avis que partageaient de nombreux représentants du secteur. Alors que la fin de l'exercice approche, il semblerait, en effet, que les prévisions du président de la Fédération nationale des travaux publics se confirment.

 

Sans parler encore de "crise",
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