LOGEMENT INTERMÉDIAIRE. Les investisseurs institutionnels (traditionnellement surnommés "zinzins") pourraient, selon un rapport émanant de Bercy et du ministère de la Transition écologique, s'engager beaucoup plus dans la construction de logements intermédiaires, dans le contexte de l'extinction de l'avantage fiscal réservé aux particuliers, dit Pinel. A condition de vaincre les réticences des maires.


La crise sanitaire a rendu la tendance encore plus visible : les investisseurs institutionnels (les "zinzins") sont de retour dans le logement depuis plusieurs années, à mesure que la rentabilité de ce type d'actifs progresse, et que l'investissement dans les commerces et bureaux parait plus risqué. Le logement intermédiaire, en particulier, commence à prendre toute sa place dans les portefeuilles de ces acteurs, même si l'immobilier résidentiel ne représente qu'1% des actifs des "zinzins" (chiffres 2019).

 

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