OUVRAGES D'ART. Avec le changement climatique, les fondations des ponts anciens deviennent plus fragiles. Pour sensibiliser les maîtres d'ouvrages et gestionnaires d'infrastructures, une publication se penche sur les risques et les solutions pour remédier au problème.


C'est un joyau architectural qui enjambe élégamment le Cher. Le château de Chenonceau se dresse fièrement sur ses 5 arches, formant un pont entre les deux rives de la rivière. Mais ces dernières années, les amoureux de ce monument emblématique du Val de Loire et les professionnels s'inquiètent. Car le changement climatique, accentuant les épisodes de sécheresse comme les inondations, fragilise les fondations. Faisant peser un risque sur la stabilité et la pérennité même de l'ouvrage.

 

Mais si Chenonceau est un exemple médiatique, il n'est pas le seul ouvrage menacé. De nombreux ponts anciens avec des fondations pieux bois le sont également. C'est notamment pour sensibiliser les maîtres d'ouvrage et les gestionnaires d'infrastructures que le Strres, le syndicat des réparateurs d'ouvrages d'art, a publié un guide sur les fondations anciennes en pieux bois.
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