Il y a eu un affaissement de terrain lié à des fuites d'eau, ce qui a provoqué les poussées de terre sur le mur de soutènement. Mais le terrain, composé de remblais et d'argile verte, n'étant pas assez homogène, au moment de l'injection des coulis, rien n'a tenu. "Tout partait dans le terrain", explique Antoine Oury, ingénieur en chef de Spie fondations. Des adaptations ont dû être opérées, comme épaissir le fluide avec l'ajout de bentonite au ciment.

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