Deux phases supplémentaires de triage ont ensuite lieu. L'une est consacrée à distinguer les planches de qualité A, destinées à des éléments de la fenêtre toujours visibles des clients, de celles de qualité B. L'autre vise à éliminer les dernières "singularités." Vient alors le collage des éléments en bois, qui nécessite un taux d'hygrométrie du bâtiment de 55% au moins.

 

Imprimées d'insecticide puis de fongicide, les pièces de bois sont ensuite séchées puis peintes. En deux couleurs seulement : le bois naturel et le blanc. La ligne de peinture actuelle sera remplacée en 2020 par une nouvelle, qui nécessite un investissement, là encore de quatre millions d'euros pour les seuls bâtiments, et de six millions en ajoutant l'installation des équipements.

 

La dernière étape est celle de l'assemblage, avec notamment la pose d'éléments de ventilation, de serrures, de poignées et de joints d'étanchéité. Après avoir subi dans un caisson un test de résistance aux tempêtes, les fenêtres de toit sont emballées et juchées sur des palettes, prêtes pour l'expédition.

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