A l'aide de craies oranges, les ouvriers marquent les parties des planches de bois inutilisables pour cause de "singularités", ces défauts tels qu'un noeud mort. Une étape qui "nécessite une grande connaissance du produit final", souligne le responsable d'atelier. Le bois, ensuite débité par des scies automatiques, représente les deux tiers du prix de revient des fenêtres de toit. L'enjeu est donc de jeter le moins de matière possible.

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