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Au 3e trimestre 2007, les volumes investis dans l’immobilier d’entreprise en Ile-de-France atteignent plus de 17 milliards d’euros. Un chiffre qui frôle déjà les 18,5 milliards d’euros réalisés sur toute l’année 2006, selon une étude réalisée par Jones Lang LaSalle. Détails de cette étude.
Avec 17,3 milliards d’euros, les volumes investis dans l’immobilier d’entreprise en Ile-de-France au 3e trimestre 2007 conduisent 2007 vers une année record pour l’investissement immobilier. Selon une étude publiée par Jones Lang LaSalle, le marché francilien est désormais en mesure de rivaliser avec «les plus grandes capitales mondiales» grâce à l’arrivée de nouveaux acteurs, de nouveaux produits mais également de nouvelles stratégies d’investissement.
Le 3e trimestre 2007 affiche une croissance de 13% par rapport à la même période en 2006. Entre début juillet et fin septembre, le volume unitaire des transactions a progressé de 30%. L’étude rappelle que cette période «restera marquée par l’émergence d’une crise financière dont les répercussions ne sont pas encore toutes connues à ce jour». Malgré cela, 6 des 10 plus grandes transactions (hors portefeuille) de l’année 2007 ont été réalisées au cours du 3e trimestre. En outre, 16 transactions supérieures à 200 millions d’euros ont été réalisées depuis le début de l’année, et les transactions supérieures à 5.000 m² ont représenté près de 723.000 m².
Vers une année à plus de 20 milliards d’euros
La place parisienne affiche des résultats importants en termes de demande placée. La Défense et le Quartier central des affaires (QCA) sont les destinations privilégiées des investisseurs : les volumes investis dans le QCA à la fin du 3e trimestre représentent le double de l’année 2006 dans sa totalité, avec120.421 m² investis.
Les bureaux sont leaders avec 88% des volumes investis soit 15 milliards d’euros, mais les commerces progressent en dépassant les 700 millions d’euros sur la région francilienne, notamment grâce à «la poursuite des externalisations immobilières des enseignes, la vente de parcs d’activité commerciale ainsi que des transactions sur des pieds d’immeubles emblématiques». Les entrepôts s’approchent du milliard d’euros, soit une augmentation de 66% par rapport au 3e trimestre 2006 pour cette typologie.
Jones Lang LaSalle prévoit un volume de 20 à 22 milliards d’euros à la fin 2007, «même si le 4e trimestre risque d’être en dessous des premiers trimestres de cette année en terme de volume».
Le 3e trimestre 2007 affiche une croissance de 13% par rapport à la même période en 2006. Entre début juillet et fin septembre, le volume unitaire des transactions a progressé de 30%. L’étude rappelle que cette période «restera marquée par l’émergence d’une crise financière dont les répercussions ne sont pas encore toutes connues à ce jour». Malgré cela, 6 des 10 plus grandes transactions (hors portefeuille) de l’année 2007 ont été réalisées au cours du 3e trimestre. En outre, 16 transactions supérieures à 200 millions d’euros ont été réalisées depuis le début de l’année, et les transactions supérieures à 5.000 m² ont représenté près de 723.000 m².
Vers une année à plus de 20 milliards d’euros
La place parisienne affiche des résultats importants en termes de demande placée. La Défense et le Quartier central des affaires (QCA) sont les destinations privilégiées des investisseurs : les volumes investis dans le QCA à la fin du 3e trimestre représentent le double de l’année 2006 dans sa totalité, avec120.421 m² investis.
Les bureaux sont leaders avec 88% des volumes investis soit 15 milliards d’euros, mais les commerces progressent en dépassant les 700 millions d’euros sur la région francilienne, notamment grâce à «la poursuite des externalisations immobilières des enseignes, la vente de parcs d’activité commerciale ainsi que des transactions sur des pieds d’immeubles emblématiques». Les entrepôts s’approchent du milliard d’euros, soit une augmentation de 66% par rapport au 3e trimestre 2006 pour cette typologie.
Jones Lang LaSalle prévoit un volume de 20 à 22 milliards d’euros à la fin 2007, «même si le 4e trimestre risque d’être en dessous des premiers trimestres de cette année en terme de volume».
