FOCUS. En déplacement à Bruxelles, les ministres français de l'Économie et de l'Énergie ont rappelé les principales positions de l'Hexagone à l'heure où se pose la question du financement de la transition énergétique. Paris plaide pour que des mécanismes européens soient fléchés vers le nucléaire.


Alors que le Gouvernement a reporté sine die son projet de loi souveraineté énergétique, difficile de savoir si les politiques publiques européennes en rapport avec l'énergie bougeront davantage d'ici les élections communautaires de juin. Cela n'a pourtant pas empêché les ministres des Vingt-Sept chargés de l'énergie de se retrouver ce 4 mars à Bruxelles pour un Conseil européen de l'énergie.

 

 

Côté français, ce sont les ministres de l'Économie, Bruno Le Maire, et de l'Industrie et de l'Énergie, Roland Lescure, qui ont fait le déplacement jusqu'à la capitale belge. L'occasion aussi pour ces deux locataires de Bercy de réunir les membres de l'Alliance du nucléaire : nonobstant la France, on trouve dans ce club de l'atome la Bulgarie, la Croatie, la République Tchèque, la Finlande, la Hongrie, les Pays-Bas, la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie et la Suède.

 

"Neutralité technologique"

 

Une séquence que les cabinets des deux ministres présentent comme
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