Projet Lauréat. «L'émergence hybride» de Thom Mayne-Morphosis
«Enigmatique, stratégique, iconique. Douce et sensuelle également. La tour est fondamentalement hybride», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. C'est également le seul projet à établir une relation entre la gare d'interconnexion souterraine et la tour, via le Palais du CNIT. 300 mètres de haut - 130.000 m2 de surfaces utiles.

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© Jacques Ferrier - ART
«La tour évolutive» de Jacques Ferrier
Conçu comme «ultra-environnementale» (repose sur le concept de la tour en béton haute performance «hypergreen») le projet s'annonce capable de «se transformer pour durer, commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. De forme elliptique, la tour est enveloppée par une résille porteuse. La structure est clairement détachée de la façade en double peau de verre. 325 mètres de haut - 145.000 m2 de surfaces utiles - 70 étages.

© Norman Foster Foster+Partners
«L'anti-monolithe» de Norman Foster
«Le geste est simplement efficace et corporate. Ce projet est le seul à ne faire que de la hauteur le caractère exceptionnel», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. Des blocs de bureaux de 24 niveaux sont accrochés sur la structure.

© Massimiliano Fuksas
«Les jumelles» de Massimiliano Fuksas
«Un geste hautement plastique : de l'architecture sculpture. C'est l'option prise par ce projet qui jouant dans l'entre-deux que constitue l'espace entre la Grande Arche et la palais du CNIT, répond avec «force et douceur»», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine.

© Herzog & de Meuron
«Le concept global» de Manuelle Gautrand
«Une forte empreinte de design sur le thème de l'entrelacement. C'est la conséquence d'un parti très affirmé : la majeur partie de la structure est en façade. Soit une résille porteuse, un exosquelette aussi puissant que raffiné capable de supporter deux tiers des charges de la tour, le noyau assurant le tiers restant», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine.

© Koolhaas-OMA
«Les quatre satellites» de Rem Koolhaas-OMA
C'est l'un des deux projets qui s'attachent à créer un événement fort dans le dernier tiers. A plus de 200 mètres de hauteur, quatre satellites émergent de la tour. «Dans ce projet à la façade triangulaire, il y a adéquation totale de la peau et de la structure. Le tour assume pleinement son rôle de monument entre la Grande Arche et le CNIT», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine.

© Nicolas Michelin-ANMA
«Le Skysail» de Nicolas Michelin
«Anti-bloc, «Skysail» est l'un des deux projets à proposer une typologie «hybride» au sens où elle cherche à «troubler l'image» classique des tours», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. En résulte une géométrie complexe, en l'occurrence une succession de strates horizontales de différentes longueurs. «Skysail» est conçu comme une grande voile.

© Jean Nouvel-AJN
«L'objet expérimental» de Jean Nouvel
«Un objet d'attraction et de diffusion. En permanence, de jour comme de nuit». Ce projet établit un rapport entre l'architecture et l'image à une échelle monumentale», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. D'où cette typologie inédite, avec un gigantesque élément mobile d'environ 70 m de haut.

© Dominique Perrault
«L'effet prisme» de Dominique Perrault
«Monolithique et prismatique. Tel apparaît ce projet «double», placé sous le signe du pragmatisme et de la géométrie», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. Sa forme proche du trapèze est issue du peu de points d'appui possibles sur le site.

© Manuèle Gautrand
«La fine lame» de Herzog & De Meuron
«Il s'agit moins d'un gratte-ciel que d'un «coupe-ciel». Plus d'un immeuble que d'une tour. Un immeuble lame fruit de l'extrusion du site», commente la Cité de l'architecture et du patrimoine. L'ensemble conçu comme un «paysage vertical stratifié» avec des jardins intérieurs, est doté d'une peau très sophistiquée. Le bâtiment fait 135 mètres de face et 35 mètres de profil.