PAROLES D'ÉLUS. La 5e rencontre du Réseau national des aménageurs a été l'occasion pour la profession de pointer, témoignages à l'appui, qu'ils sont un outil utile pour mettre en œuvre les projets politiques des élus, quelle que soit la taille des collectivités.


"Elus et aménageurs : osons ensemble le projet urbain". C'est le thème de la 5e rencontre du Réseau national des aménageurs (RNA), organisée par le ministère de la Transition écologique, début juillet à Paris. Le RNA, constitué d'aménageurs petits ou gros, privés comme publics, est coprésidé par Nicolas Gravit, directeur général d'Eiffage Aménagement, et Sarah Bellier, directrice générale de l'Etablissement public d'aménagement Nice Ecovallée.

 

"Les opérations d'aménagement sont un outil pour répondre aux ambitions des territoires", a martelé Jean-Baptiste Butlen, sous-directeur de l'aménagement à la DHUP (direction de l'habitat, de l'urbanisme et des paysages), qui rappelle combien dans la période actuelle, "les défis sont immenses", entre Zan, transition écologique, industrie verte, reconstruction post-émeutes… et combien le contexte réglementaire se complexifie.

 

 

Dans la salle de nombreux élus, convaincus de l'utilité de faire appel aux professionnels de l'aménagement pour mener à bien leurs projets de territoires, ou venus pour être convaincus par leurs pairs, dont plusieurs ont décrit leur expérience de l'opération d'aménagement. Des élus représentant de collectivités de toutes tailles, avec des projets variés, ayant fait appel à des structures diverses. Mais partageant un point commun, répété maintes fois : si l'aménageur est un bon outil, le projet politique est un préalable.
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