Le deuxième distributeur mondial et le leader mondial de la distribution électrique viennent de signer un «contrat de performance énergétique garantie» pour réduire la consommation d’énergie des points de vente Carrefour. Une première en France !
Réduire de 10 à 15% les consommations d’énergie des magasins, soit l’équivalent de la consommation annuelle de 15 ménages par hypermarché : l’objectif de cette collaboration est ambitieux !
L’accord répond à un double enjeu. Tout d’abord, la réduction de la consommation d’énergie répond directement au problème de la protection de l’environnement. En effet, selon un communiqué de Schneider Electric, sans modification des politiques énergétiques, la demande mondiale d’énergie aura augmenté de 65% entre 1995 et 2020. D’autre part, si cette collaboration entre dans le cadre de la politique de développement durable de Carrefour, elle permet aussi de rationaliser les coûts de l’enseigne : «Les économies réalisées permettent également à Carrefour de répondre à ses objectifs d’optimisation des coûts. En effet, dans un contexte de marché inflationniste, il est important d’agir sur les quantités consommées afin de maîtriser ses dépenses énergétiques», explique ainsi Timothée Noël, acheteur énergie chez Carrefour France.
Et Frédéric Vaillant, directeur performance énergétique chez Schneider Electric, d’ajouter : «Suite à des audits réalisés dans chaque magasin, nous nous fixons des objectifs d’économie d’énergie et proposons des solutions techniques. Nous réalisons les travaux d’optimisation. Une fois les matériels installés, c’est l’implication de l’équipe Carrefour dans l’hypermarché et le suivi quotidien assuré par nos équipes pendant 3 ans qui garantiront le maintien des bons résultats».
Ainsi, tandis que Schneider garantit ces économies, Carrefour s’engage quant à lui à s’équiper en matériel, à réaliser les travaux et à accompagner la mise en place de ces pratiques dans l’ensemble de son parc de magasins.
Dans un premier temps, ce dispositif sera testé dans 15 hypermarchés pour l’année 2005 pour être ensuite déployés par étape et par typologie de point de vente. L’économie d’énergie potentielle pour l’ensemble du réseau Carrefour est estimé à 113 GWh, soit plus d’un quart de la consommation d’électricité de la ville de Paris. La production de froid (chambres froides et rayons surgelés) qui représente 40% des consommations énergétiques d’un hypermarché, la climatisation, le chauffage et l’éclairage seront les principaux domaines concernés par ces améliorations. La température sera également plus homogène au sein des magasins.
Après un partenariat avec l’Ademe en 2004, Carrefour poursuit ainsi son engagement pour la maîtrise d’énergie. Et preuve de son implication dans ce domaine, le groupe vient également de signer un contrat de fourniture d’électricité avec EDF lui permettant de suivre plus précisément ses consommation.
Quant à Schneider Electric, cette collaboration avec Carrefour renforce son engagement de performance et la prise en compte de l’ensemble des énergies auprès de ses clients. Deux cents contrats de ce type ont été mis en œuvre par le groupe à l’échelle internationale.
L’accord répond à un double enjeu. Tout d’abord, la réduction de la consommation d’énergie répond directement au problème de la protection de l’environnement. En effet, selon un communiqué de Schneider Electric, sans modification des politiques énergétiques, la demande mondiale d’énergie aura augmenté de 65% entre 1995 et 2020. D’autre part, si cette collaboration entre dans le cadre de la politique de développement durable de Carrefour, elle permet aussi de rationaliser les coûts de l’enseigne : «Les économies réalisées permettent également à Carrefour de répondre à ses objectifs d’optimisation des coûts. En effet, dans un contexte de marché inflationniste, il est important d’agir sur les quantités consommées afin de maîtriser ses dépenses énergétiques», explique ainsi Timothée Noël, acheteur énergie chez Carrefour France.
Et Frédéric Vaillant, directeur performance énergétique chez Schneider Electric, d’ajouter : «Suite à des audits réalisés dans chaque magasin, nous nous fixons des objectifs d’économie d’énergie et proposons des solutions techniques. Nous réalisons les travaux d’optimisation. Une fois les matériels installés, c’est l’implication de l’équipe Carrefour dans l’hypermarché et le suivi quotidien assuré par nos équipes pendant 3 ans qui garantiront le maintien des bons résultats».
Ainsi, tandis que Schneider garantit ces économies, Carrefour s’engage quant à lui à s’équiper en matériel, à réaliser les travaux et à accompagner la mise en place de ces pratiques dans l’ensemble de son parc de magasins.
Dans un premier temps, ce dispositif sera testé dans 15 hypermarchés pour l’année 2005 pour être ensuite déployés par étape et par typologie de point de vente. L’économie d’énergie potentielle pour l’ensemble du réseau Carrefour est estimé à 113 GWh, soit plus d’un quart de la consommation d’électricité de la ville de Paris. La production de froid (chambres froides et rayons surgelés) qui représente 40% des consommations énergétiques d’un hypermarché, la climatisation, le chauffage et l’éclairage seront les principaux domaines concernés par ces améliorations. La température sera également plus homogène au sein des magasins.
Après un partenariat avec l’Ademe en 2004, Carrefour poursuit ainsi son engagement pour la maîtrise d’énergie. Et preuve de son implication dans ce domaine, le groupe vient également de signer un contrat de fourniture d’électricité avec EDF lui permettant de suivre plus précisément ses consommation.
Quant à Schneider Electric, cette collaboration avec Carrefour renforce son engagement de performance et la prise en compte de l’ensemble des énergies auprès de ses clients. Deux cents contrats de ce type ont été mis en œuvre par le groupe à l’échelle internationale.
