Les audits énergétiques réalisés en 2006 et 2008 avaient montré que les quartiers étaient thermiquement vétustes : faiblement isolés, ils ne possédaient aucun réseau de distribution de chaleur, reposant entièrement sur des radiateurs électriques pour chauffer les locaux. "Les équipements étaient en fin de cycle de vie entraînant un inconfort dans les chambres où la température dépassait difficilement les 14 °C et où la production d'eau chaude sanitaire était problématique", précise le colonel Massot qui évoque également des problèmes de coût d'exploitation liés à la hausse du prix de l'électricité. Le service d'Infrastructure de la Défense, constatant la nécessité de procéder à des investissements, a adopté une approche en coût global.

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