ÉNERGIE. Réunis à Paris ce 16 mai, les pays membres de l'Alliance du nucléaire ont planché sur une chaîne d'approvisionnement européenne et indépendante, ainsi que sur la relance de l'industrie atomique du Vieux Continent. Les acteurs ont signé une déclaration commune appelant à un plan d'actions et avancé leurs projections de production à horizon 2050.


Au moment où l'Assemblée nationale emboîtait le pas au Sénat en adoptant le projet de loi du nouveau programme nucléaire, qui doit consacrer la construction de six EPR2 (avec une option sur huit autres), la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher réunissait ses homologues des pays membres de l'Alliance du nucléaire. Créée à l'initiative de la France, cette organisation a pour but de porter les intérêts des pays européens favorables à l'énergie atomique.

 

 

Nonobstant l'Hexagone, étaient donc présents autour de la table la Belgique, la Bulgarie, la Croatie, l'Estonie, la Finlande, la Hongrie, les Pays-Bas, la Pologne, la République tchèque, la Roumanie, la Slovénie, la Slovaquie et la Suède.
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