ATTRACTIVITÉ. Une collaboration public-privé "exemplaire" entre la Ville de Dijon et Eiffage a permis l'émergence d'un projet à même de renforcer Dijon sur le plan de l'attractivité touristique. Outre la Cité de la gastronomie, logée en parti dans l'ancien hôpital général réhabilité, ce sont plusieurs centaines de logements qui sont attendus dans un nouvel écoquartier.


"Raconter et faire vivre les valeurs reconnues par l'Unesco du 'repas gastronomique des Français' et des 'climats du vignoble de Bourgogne'". C'est l'objectif assigné à la Cité internationale de la gastronomie et du vin de Dijon, qui sera inaugurée le 6 mai. Ce qui sera, à date, "la seule Cité de la gastronomie à ouvrir ses portes sur le territoire national", fait la fierté du maire de Dijon, François Rebsamen (PS), qui a annoncé la date de l'inauguration lors de ses vœux. Celui-ci vante un "grand chelem" pour cet équipement, qui comprendra un pôle culturel, l'école Ferrandi Paris, l'école des vins du BIVB, des commerces de bouche et un "village gastronomique" proposant de la cuisine événementielle, mais aussi une cave, des restaurants et enfin, des cinémas. En tout, 26.000 m² de locaux dont 17.000 m² historiques rénovés.

 

Pour Eiffage, c'est "l'un des plus importants projets en région" : outre l'équipement, c'est un écoquartier de 540 logements et trois résidences services qui doit être créé, sur cet ancien tènement foncier de l'hôpital général dijonnais de 6,5 hectares, dont les bâtiments de la seconde moitié du 20e siècle ont été démolis.

 

 

Une collaboration public-privé qui dure depuis 7 ans

 

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