Référence dans le domaine des outils de bricolage, Bosch fête cette année ses 80 ans d’électroportatif. L’occasion de revenir sur les premières inventions de l’entreprise qui furent d’abord destinées, non pas aux bricoleurs mais aux… coiffeurs. Récit.
Perceuse, visseuse, scie sauteuse et même plus récemment, télémètre laser … Tous ces outils du groupe Bosch possèdent une particularité qui a fait le succès de l’entreprise : ils sont tous électroportatifs. Une originalité qui n’est pas née lors du fondation de la société par Robert Bosch, en 1886, mais avec la mise au point, 40 ans plus tard, de la première tondeuse de coiffure électrique !
Un outil inspiré d’une machine à coudre
Devant l’étendue de la crise de l’industrie automobile durant les années 20, l’entreprise Bosch décide de s’attaquer à un autre marché. Un objectif qui se concrétise en 1928 avec la création d’une tondeuse de coiffeur à laquelle est ajouté, dans la poignée, un moteur électrique. C’est le premier appareil électroportatif du groupe.
Dans les années qui suivent, Bosch s’inspire de tous les appareils utilitaires, y compris les plus quotidiens pour innover. De fait, c’est en observant le processus de fonctionnement des machines à coudre que l’ingénieur Albert Kaufmann imagine, en 1946, la première scie sauteuse et propulse le groupe d’outillage sous le feu des projecteurs.
Une «success story» qui se poursuit
D’autres inventions marquantes suivront, notamment avec l’apparition du premier perforateur de 2 kg (1981) et du premier perforateur sans fil du marché (1984). Parallèlement, Bosch développe aussi la technologie de batteries lithium-ion qui donnera naissance, en 2006, au plus petit télémètre laser jamais commercialisé.
Et la success-story du groupe ne semble pas près de s’arrêter. Rien qu’en 2006, Bosch qui compte aujourd’hui 272 000 employés répartis dans 50 pays, a déposé plus de 3000 brevets à l’échelle mondiale et réalisé un chiffre d’affaires de plus de 46 milliards d’euros.
Pour avoir un aperçu des outils qui ont marqué la société Bosch, cliquez ici.
Un outil inspiré d’une machine à coudre
Devant l’étendue de la crise de l’industrie automobile durant les années 20, l’entreprise Bosch décide de s’attaquer à un autre marché. Un objectif qui se concrétise en 1928 avec la création d’une tondeuse de coiffeur à laquelle est ajouté, dans la poignée, un moteur électrique. C’est le premier appareil électroportatif du groupe.
Dans les années qui suivent, Bosch s’inspire de tous les appareils utilitaires, y compris les plus quotidiens pour innover. De fait, c’est en observant le processus de fonctionnement des machines à coudre que l’ingénieur Albert Kaufmann imagine, en 1946, la première scie sauteuse et propulse le groupe d’outillage sous le feu des projecteurs.
Une «success story» qui se poursuit
D’autres inventions marquantes suivront, notamment avec l’apparition du premier perforateur de 2 kg (1981) et du premier perforateur sans fil du marché (1984). Parallèlement, Bosch développe aussi la technologie de batteries lithium-ion qui donnera naissance, en 2006, au plus petit télémètre laser jamais commercialisé.
Et la success-story du groupe ne semble pas près de s’arrêter. Rien qu’en 2006, Bosch qui compte aujourd’hui 272 000 employés répartis dans 50 pays, a déposé plus de 3000 brevets à l’échelle mondiale et réalisé un chiffre d’affaires de plus de 46 milliards d’euros.
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Une structure de propriété particulière<<BR/>
Le groupe Bosch se distingue aussi par sa structure de propriété originale. 92% de son capital appartient à la fondation « Robert Bosch Stiftung GmbH », elle-même détenue à 93% par la Robert Bosch Industrietreuhand KG que contrôlent la direction de l’entreprise, certains représentants de la famille Bosch et des personnalités du monde industriel, comme Jûrgen Hambrecht, directeur général de BASF.
Le groupe Bosch se distingue aussi par sa structure de propriété originale. 92% de son capital appartient à la fondation « Robert Bosch Stiftung GmbH », elle-même détenue à 93% par la Robert Bosch Industrietreuhand KG que contrôlent la direction de l’entreprise, certains représentants de la famille Bosch et des personnalités du monde industriel, comme Jûrgen Hambrecht, directeur général de BASF.
