REPORTAGE. Le temps d'une journée, un centre équestre s'est transformé en laboratoire d'idées pour réfléchir à la ville de demain. Loin des formats institutionnels, le Festival de la ville a servi de moteur à des débats passionnés.
C'est un événement non-conventionnel qui s'est tenu vendredi 12 septembre 2025, au Théâtre du centaure, dans le IXe arrondissement de Marseille. Dans ce centre équestre circassien, situé en limite du parc national des Calanques, l'architecte Matthieu Poitevin et son association Va jouer dehors ont réuni des architectes, urbanistes, promoteurs, paysagistes, géographes, élus, artistes et étudiants pour repenser la ville de demain. Et quoi de mieux qu'un lieu atypique pour organiser un rendez-vous détonnant ? Dans les jardins et un joli bâtiment en bois sculpté, les professionnels ont œuvré ensemble, pendant une journée, à réfléchir à une autre fabrique de la ville.
Pour cette quatrième édition, le fondateur de cette manifestation a proposé d'aller à contre-courant, en rendant les participants acteurs de cette journée de réflexions et d'échanges. Seule consigne : ne pas ennuyer les curieux venus écouter les débats. Ici, l'architecture est considérée comme "un acte politique", a affirmé à Batiactu Matthieu Poitevin, architecte, fondateur de l'agence Caractère Spécial, de l'association Va jouer dehors et du Festival de la ville.
L'architecture, "un art de la commande" ?
Un long débat, porté par une vingtaine de participants de tout horizon, a rythmé le festival,
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