Pour préserver au maximum l'histoire et l'identité du lieu, les architectes ont fait en sorte de conserver tout ce qui pouvait l'être. "Le projet a cependant dû être adapté car, si les murs étaient épais, environ 60-70 cm, ils étaient aussi très hauts et friables" explique Nicolas Braillon. La maison s'appuie donc sur des pans de murs existants, qui ont été abaissés. Pour le reste, elle s'inspire de l'architecture traditionnelle locale. "On retrouve l'esprit chalet d'alpage, mais avec une vision plus contemporaine".

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