Créer du vide n'était pas gagné, estime Patrice Gardera. Pour cela, un grand hall sur toute la hauteur du bâtiment a été imaginé et réalisé. Il peut aussi être complètement ouvert l'extérieur et le parvis de l'école des Beaux-Arts, et a pour vocation de "fonctionner comme une place, regroupant les circulations vers les différents lieux et espaces, apportant un esprit village", évoque l'architecte. Une rue intérieure, débouchant sur cette agora, a également été percée, permettant notamment de desservir différents espaces d'exposition et les locaux techniques. Ce qui permet également de "constituer une microurbanité à l'intérieur du bâtiment, en résonnance avec le quartier".

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