Les immeubles se dressent à la même hauteur que l'ensemble du voisinage. Le tramway, qui, en dix minutes, emmène les habitants au centre-ville, s'arrête devant les portes du parc immobilier. Le paysage est, lui, encadré par les collines onduleuses. Depuis l'avenue, deux bâtiments ont été conçus comme des copies de ceux, historiques, que l'on peut retrouver en centre-ville. Le plus petit, en pierre, est accolé aux autres bâtiments en enduit à la chaux.

 

 

En franchissant les portes d'entrée du 54 boulevard Gorbella, les résidents sont absorbés par l'atmosphère du hall, un espace grandiose, habillé de chutes de marbre coloré et garni d'un escalier monumental. Le plafond est recouvert de béton et de bois. "Nous avons voulu veiller à la mémoire du stade", explique Édouard François, qui montre un trophée et des reliques de l'OGC Nice qui trônent dans les vitrines. Des sièges rouge vif provenant du stade démoli sont un clin d'œil à l'histoire du quartier.

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